J’arrête de culpabiliser… Je n’arrive pas à être 100% bienveillant !

J’arrête de culpabiliser… Je n’arrive pas à être 100% bienveillant !

Essayer c’est parfait, y parvenir, ce n’est pas toujours évident !

Coupable, forcément coupable… s’il tombe malade, s’il ne mange pas 5 fruits et légumes par jour, si on gronde son enfant alors qu’on tente d’appliquer autant que faire se peut l’éducation bienveillante… bref si on n’est pas parfaite à tous les niveaux, on se sent coupable ! En tant que mères, on trouve toutes (et toujours !) un motif de culpabiliser pour notre enfant. Pas toujours facile, voire impossible d’être à 100% question bienveillance ! Et d’ailleurs, comment est-ce possible avec la société dans laquelle on vit, une société culpabilisante au quotidien quand on y réfléchit un peu : quand ce n’est pas l’entourage proche, parfois sans le vouloir, c’est sa propre mère, elle-même qu’on place sur un piédestal maternel, qui y va de sa petite remarque bien culpabilisante. Et quand on y repense, même la boulangère entrevue en allant acheter son pain va tenter un petit conseil (bien ?) placé à propos de notre enfant !

De la société ou de notre propre histoire, d’où vient la culpabilité maternelle, a-t-elle une fonction particulière et peut-on s’en défaire au moins un tout petit peu ?

Quand la mère accède à la maternité, elle est dans un temps de bascule, elle devient complètement objet de son enfant, dévolue à ses soins et à son intérêt. Et quand on construit des choses comme ça, immanquablement, comme on est humain, on se plante, coupable de ne pas y être arrivée plus tôt, ou de ne pas avoir trouvé LA bonne réponse (parce qu’il n’y en a qu’une, évidemment).

Mais pourquoi est-elle présente encore et toujours cette culpabilité maternelle ? C’est ça qui est assez dingue ! C’est même le coeur de tous les questionnements autour de la maternité, des femmes : on en revient constamment à cette question-là de la culpabilité. Comme une impression que la maternité et la culpabilité sont intrinsèquement liées. Modèle mythologique, romantique, inexistant de la mère parfaite. Toutes les mères sont imparfaites de nature, alors qu’on se coltine cette image d’une mère rêvée, archaïque, toute puissante.

Il y a une grande difficulté à mettre en avant la différence entre la question de la responsabilité maternelle et de la culpabilité : bien entendu, le fait d’avoir un enfant, de s’engager à le prendre en charge, c’est une responsabilité importante : on sait qu’il y a un certain nombre de conditions nécessaires qui font que l’enfant pourra se développer. Ca met en avant la responsabilité première de la mère, mais on dit tout autant du père, de la fonction parentale. Ce qui est important, c’est de mettre en avant le fait qu’il y a une vraie responsabilité maternelle et paternelle, c’est majeur.

Et ce qui est sûr à 100% en revanche, c’est que la mère parfaite n’existe pas ! Tout simplement parce qu’il y a toujours quelque chose qu’on fera mal et puis si tout était lisse, ce serait beaucoup moins drôle.

D’ailleurs, laissons la parole à Isabelle Filliozat à ce sujet ! Selon elle, “si nous arrivions à moins culpabiliser, nous chercherions moins à nous voir parfaits et nous pourrions davantage assumer nos responsabilités. Toutes les mères sont de mauvaises mères… et de bonnes mères. En fait, elles seraient de meilleures mères si elles ne cherchaient pas tant à être bonnes.

Le concept Snoezelen

Le concept Snoezelen

Les espaces Snoezelen

S-N-O-E-Z-E-L-E-N ??? Non ce n’est pas le nom d’un meuble Ikea. D’ailleurs, ce n’est pas non plus suédois puisqu’on parle plutôt d’un concept hollandais !

En réalité, le snoezelen est une technique de relaxation basée sur la stimulation sensorielle et motrice.

Origine et principes du snoezelen

Le mot est issu de la contraction de deux termes : “snuffelen” : explorer/sentir et “doezelen” : somnoler. Cette terminologie nous laisse deviner les deux objectifs de cette thérapie : la stimulation sensorielle permettant la communication avec le monde extérieur et la relaxation favorisant le bien-être.

Le snoezelen est un concept néerlandais, datant des années 1970. Initialement, cela s’adressait aux personnes en prise avec les troubles du développement. Elle a depuis été appliquée à différentes populations de personnes dans d’autres pays européens et plus récemment aux Etats-Unis et au Canada.

Développée ensuite dans les années 1980 en Belgique et dans les Pays-Bas, cette approche multi-sensorielle respecte la motivation et le rythme des jeunes enfants. Leurs cinq sens sont abondamment sollicités, chacun séparément. La philosophie Snoezelen repose donc sur trois activités distinctes : relaxation, découverte, interactivité à travers, entre autres la musicothérapie, la luminothérapie et l’exploration sensorielle.

Fonctionnement du snoezelen

La pratique de snoezelen nécessite un espace aménagé appelé également salle multi-sensorielle. Cet espace dispose d’un équipement complet pour qu’une atmosphère, une ambiance de bien-être se crée :

  • des lampes proposant des jeux de couleur (un peu comme les lampes à lave ou à bulle)
  • des éclairages colorés / tamisés : des guirlandes électriques, hologrammes, projections
  • des instruments sonores diffusant de la musique
  • des matières à toucher (tissus, polaire, perles, balles…)
  • des instruments diffusant des parfums
  • des sols inégaux, des parcours (pour favoriser la recherche d’équilibre).

Bienfaits du snoezelen

L’objectif du snoezelen est d’éveiller l’enfant au monde qui l’entoure, par la stimulation des sens. Un lien est ainsi créé avec l’extérieur, ce qui est particulièrement bénéfique pour des enfants plus timides. Une atmosphère sans stress est indispensable à l’expression de leurs attentes pour que cette pratique apaisante procure du plaisir et contribue au bien-être de l’enfant.

Intégrer le zéro déchet avec bébé

Intégrer le zéro déchet avec bébé

Zéro déchet : des soins “faits maison”

Vous en avez envie d’utiliser des produits de toilette pour bébé plus naturels ? Sachez que vous pouvez les fabriquer vous-même. Voici quelques astuces :

Liniment oléo-calcaire

Ingrédients

  • 125 ml Eau de chaux
  • 125 ml d’huile d’olive bio


Équipement

  • Un récipient
  • Un mixeur
  • Un flacon propre et stérilisé de 250 ml
  • Un entonnoir
  • Du coton ou des lingettes en coton lavables.

 

Recette pour 250 ml de liniment oléo calcaire
Mélangez dans un récipient l’eau de chaux et l’huile d’olive.
Mixez pendant environ 5 minutes.
Versez la préparation dans votre flacon à l’aide de l’entonnoir.
Imbibez votre coton du « liniment maison » pour nettoyer naturellement les fesses de votre bébé.
Vous pouvez maintenant faire la toilette de votre bébé en toute tranquillité !
Bien agiter avant chaque utilisation.


→ Le liniment se conserve 1 mois à température ambiante.
Où acheter de l’eau de chaux ? L’eau de chaux se trouve dans les magasins bio et dans les pharmacies.
Attention ! L’eau de chaux « pur » doit se manipuler avec précaution. Il est conseillé de porter des gants de protection. Une fois diluée, elle ne présente plus de risques.

Le sérum physiologique

Mélangez 1 gramme de gros sel avec 125 ml d’eau. Agitez et c’est prêt.

On peut conserver la solution pendant 72h au réfrigérateur maximum.

Savons

  • d’alep
  • calendula
  • d’un fabricant local GAIIA

Huile hydratante naturelle

Ingrédients

  • 1 cuillère à soupe d’huile d’amande douce
  • 1/8 de cuillère à café de vitamine E (environ ½ ml)
  • 2 cuillères à café d’huile de Calendula

Fabrication

Mélangez délicatement tous les ingrédients dans une petite bouteille à compte-gouttes. Appliquez une toute petite quantité sur la peau de bébé après le bain. Pour un bébé de 4 kg, six à huit gouttes suffisent pour les bras et les jambes.

Le temps de conservation est de six mois. Toutefois, si vous soupçonnez une odeur étrange au bout de quelques temps, c’est que les huiles ont probablement ranci. Jetez donc le produit.

Un baume pour des fesses toutes douces

Le baume au beurre d’avocat est un onguent doux et excellent pour protéger les petites fesses des bébés. Au moment de changer la couche, appliquez-en une petite quantité puis massez un peu. Le baume va ensuite agir comme une barrière protectrice entre la peau du nouveau-né et la couche souillée, évitant ainsi l’apparition d’un érythème fessier du nourrisson, une irritation cutanée au niveau de la zone recouverte par la couche.

Ingrédients

1 cuillère à café de lanoline anhydre

6 cuillères à café d’huile d’amande douce

3 cuillères à café d’huile de Calendula (ou de l’huile d’olive vierge)

4 cuillères à café de beurre d’avocat

3 cuillères à café de cire d’abeille

Fabrication

Tout d’abord, combinez tous les ingrédients ensemble dans un récipient et placez ce dernier dans un bain d’eau chaude afin que la cire puisse fondre doucement.

Marques de couches lavables

  • Piwapee
  • Hamac
  • Lulu Nature
  • Popolini
  • Applecheeks

 

Marques de lingettes lavables

Gérer la colère de son enfant

Gérer la colère de son enfant

Comment réagir face à son enfant en colère ? Que lui dire/répondre ?

Il se roule par terre, pleure, hurle… A la première contrariété, votre enfant pique une colère que vous avez toutes les peines du monde à calmer. A la maison passe encore, mais dans la rue ou au supermarché, tout le monde vous regarde de travers et là c’est beaucoup moins drôle !

Pourquoi nos chères petites têtes blondes réagissent-elles de cette façon ? Comment faire pour le calmer ? Faut-il se fâcher plus fort que lui ou au contraire lui parler doucement en le prenant dans ses bras ?

La phase du non et des colères c’est quand l’enfant possède le langage. Et en disant « non », il peut obtenir des choses. C’est un outil d’affirmation et pas seulement d’opposition. Dire non c’est bien, mais si le non se transforme en un refus de tout, et donc en colères, c’est tout simplement un refus des contraintes et de la réalité qu’on propose. La colère commence très tôt et sous différentes formes. Il y a des colères pour dire « j’ai faim, j’ai sommeil », car c’est le seul langage du nourrisson, des tous petits piquent des colères terribles et souvent, il s’agit de colères d’insatisfaction. Et parfois, les colères dites « capricieuses », « irrationnelles » sont souvent liées à l’intolérance aux frustrations. Dès qu’on n’a pas ce qu’on veut et bien l’enfant cède à une colère, et c’est d’ailleurs souvent pareil chez l’adulte ! C’est quand il y a une frustration que la réaction devient l’aboiement plutôt que l’acceptation. Et plus l’enfant est petit, moins il comprend. C’est là que le rôle du parent devient essentiel dans la compréhension des choses.

Maintenant, il faut savoir que les crises de colère font partie du développement normal de l’enfant, et c’est particulièrement le cas à l’âge où celui-ci commence à développer son autonomie, vers 18 mois. Si certaines crises peuvent durer que quelques minutes, d’autres peuvent se prolonger pendant plus d’une heure. Et là, le temps devient une éternité !

Et puis certains enfants ont plus tendance à faire des crises que d’autres. Cela peut être dû au fait qu’ils ont un tempérament plus affirmatif ou encore une moins grande tolérance à la frustration. Et parfois, on peut observer que les crises de colère sont plus fréquentes chez les enfants qui sont moins à l’aise pour exprimer verbalement leur mécontentement. Leur colère se manifestera alors par des cris et des gestes.

Mais la grande question qui se pose alors, c’est pourquoi fait-il des colères ? Chez les tout-petits, les crises sont souvent leur façon à eux de réagir lorsqu’ils se sentent dépassés par l’intensité de leurs émotions, et qu’ils n’arrivent pas à les exprimer. Mettre des mots sur ses émotions et ses sensations est difficile et demande de la pratique et des encouragements, et ce même pour un enfant qui parle bien !

C’est cet apprentissage-là que les parents doivent faire pour montrer qu’il n’y a pas que du plaisir. Apprendre la réalité c’est frustrer, ne pas faire ce qu’il veut tout le temps. Il faut que l’enfant apprenne cette réalité, c’est-à-dire qu’il ne peut pas tout contrôler, et qu’on ne peut pas se plier tout le temps à ses désirs. Et puis apprendre la frustration jeune permet de mieux l’appréhender adulte !

Quelques pistes pour tenter de faire face aux crises de colère :

  • Tentez d’apaiser et de calmer votre enfant
  • Gardez votre calme pendant la crise, car vous emporter contre votre enfant ne ferait qu’aggraver les choses.
  • Observez-le de loin et laissez passer la crise sans intervenir,
  • Se souvenir qu’il est important de ne pas céder quand il fait une colère, même si c’est très tentant, pour éviter un scandale public ! Et justement, dans ce cas, ne vous souciez pas de ce que pensent les gens autour de vous
  • Une fois la crise passée, rassurez votre enfant pour l’apaiser. Et aidez-le à parler de ce qui s’est passé, ça soulagera tout le monde !
  • Et c’est là qu’on peut profiter de ce moment pour lui proposer une ou deux choses qu’il peut faire à la place d’une crise. Il saura ainsi qu’il existe d’autres moyens que les cris et les coups pour exprimer son mécontentement.
  • Et pour finir, ne pas hésiter à encourager d’autres façons d’exprimer sa frustration. Aider son enfant à exprimer ses sentiments par des mots et à vous dire comment il se sent. En l’encourageant à parler de ce qu’il ressent, vous pouvez l’aider à mieux contrôler ses émotions et à ne pas se laisser dépasser par celles-ci.
“Montessori à la maison”

“Montessori à la maison”

Comment appliquer la pédagogie “Montessori” à la maison?

Il est tout à fait possible d’appliquer la pensée Montessori simplement à la maison ! Si l’on adhère à cette philosophie d’éducation, force est de constater qu’arrivé à la maison, il n’est pas toujours évident de reproduire avec son enfant les activités observées à la crèche par nos professionnelles de la petite enfance. Mais avant tout, il est important d’intégrer les grands principes permettant d’appliquer cette fameuse méthode :

  • Adapter l’environnement et organiser l’espace à la maison afin qu’il soit convivial pour tous et surtout l’enfant

Réorganiser sa maison, à commencer par sa chambre reste une base essentielle pour permettre à l’enfant le plus d’indépendance et d’autonomie possible dans les gestes qu’il accomplit au quotidien (s’habiller, choisir puis ranger une activité, se moucher, se servir à boire, se laver les mains, aller aux toilettes, se reposer…). Il est important de sélectionner le matériel et le mobilier de façon à permettre tout cela.

  • Le matériel mis à la disposition de l’enfant (bien choisir le matériel pour les activités

Il est nécessaire de prévoir un matériel adapté à la taille et à la force de son enfant et de choisir des matériaux véritables (porcelaine, verre…) plutôt que du plastique, pour lui montrer qu’on lui fait confiance et qu’il est responsable et autonome, évidemment tout est relatif !

  • Créer un cadre pour chacune des activités proposées à son enfant

Toute activité a un début, un déroulement et une fin, afin que l’enfant puisse la recommencer autant de fois qu’il le souhaite. L’expérience et la répétition sont fondamentales pour l’apprentissage.

  • Proposer des activités adaptées au niveau de développement de son enfant

Il s’agit à nouveau de s’appuyer sur tous les temps où l’on aura observé l’enfant, pour choisir ce qui lui conviendra le mieux à un moment donné. Le matériel pédagogique montessori est très progressif et l’enchaînement des activités tel qu’il est prévu offre déjà un cadre rassurant. Mais à l’intérieur de ce cadre, il ne faut pas hésiter à adapter aux besoins de chacun en évitant de comparer, sans se mettre de pression inutile. On peut être inventif et adapter, la pédagogie Montessori n’est pas une méthode figée.

Tout est prévu pour un développement harmonieux, alors logiquement, développement harmonieux il y aura. Surtout si l’enfant évolue dans un environnement préparé où le respect, la bonne humeur, la bienveillance sont la trame de fond…

  • Responsabiliser son enfant (et avoir confiance en lui !)

Ne pas hésiter à rendre plus responsable son enfant en lui donnant des tâches à effectuer (évidemment adapter à son âge) et de lui montrer que vous avez confiance en lui et en ces capacités. Cela lui ouvrira peu à peu à la voie de son autonomie. Laissez l’enfant faire des expériences, renverser, salir un peu par terre, casser, se tromper… l’essentiel étant d’apprendre en faisant !

Alors bien sûr, on s’est dit que cela pourrait vous être utile de vous proposer quelques petites idées d’activités inspirées de la pédagogie Montessori, et qui sauront plaire, on l’espère, aux petits comme aux grands !

Coule ou flotte

Ce jeu scientifique, que les enfants aiment beaucoup tester, permet d’observer ce qui coule et ce qui flotte ainsi que les critères de flottabilité.

Comment jouer ?

  • Remplissez la moitié d’une bassine d’eau.
  • Répartissez les objets sur la table et demandez à l’enfant de choisir l’un des objets.
  • Il le met dans l’eau et il observe ce qui se passe : l’objet flotte, coule doucement, rapidement… On peut en déduire que l’objet est lourd ou léger.
  • L’enfant essaie avec les autres objets.
  • Vous pourrez proposer l’expérience plusieurs fois car l’enfant aura sûrement envie de tester d’autres objets selon ses trouvailles.

Variante pour l’été : vous pouvez utiliser une petite piscine gonflable pour expérimenter en extérieur avec des objets trouvés dans le jardin. Attention, ces exercices se font toujours sous la surveillance d’un adulte.

Matériel :  une bassine – divers objets que l’enfant peut collecter autour de lui : un bouchon en liège, une pierre, un morceau de bois, une cuillère…

Verser avec deux carafes

Dans cette activité, l’enfant va développer son habileté psychomotrice, en musclant notamment ses mains droite et gauche. Autres points forts : la coordination et la précision des gestes, les notions de vider et de remplir.

Matériel : un petit plateau, deux carafes en verre et de l’eau.

Astuce : quand l’enfant maîtrise bien l’activité avec de l’eau, lui proposer du sable ou des graines (pois chiches, lentilles, haricots) à la place de l’eau.

La boîte à boutons

Ce jeu permet à l’enfant de se familiariser avec la notion du tri et de développer la discrimination visuelle.

Matériel : un plateau, trois séries de boutons différents, une boîte avec des casiers de séparation, une photo des boutons rangés qui permet à l’enfant de se repérer et d’évoluer en autonomie.

La bassine à lessive

Cette activité permet à l’enfant d’imiter l’adulte au moment de la lessive : laver à la main, tremper, frotter, essorer et étendre du linge comme en vrai.

Matériel : 2 bassines, des panières à linge, petits vêtements de poupée, un petit étendoir à linge, des pinces.

Le sac à mystères

Ce jeu permet à l’enfant de tester son sens tactile et se demander ce qu’il y a dans le sac.

Matériel : une boîte, un petit sac en tissu ou un tee-shirt d’enfant, de petits objets